
Voici le second épisode du podcast consacré à la minimal synth. C’est l’occasion de rentrer dans les couleurs du genre, de s’arrêter sur certains morceaux emblématiques et sur les artistes qu’il y a derrière.
On décrira le genre comme inséré entre trois genres musicaux qui ont marqué les années 1980 : la musique industrielle, la new-wave et l’indie-pop. Puis il s’agira de répondre à la question qui sert de fil rouge à cette exploration, celle des usages et de l’utilité des genres musicaux.
Ce deuxième épisode parle de futurisme, de simplicité, de danse et de charlotte de douche.
Bonne écoute.
Références utilisées :
Stenia J. Broiza, « Twee, bonbons et chatons. Not That Innocent », Retard Magazine, 2017, https://retard-magazine.com/twee-bonbons-et-chatons-not-that-innocent/
Marta Defoe, Bob George (dir.), International Discography of New Wave, One Ten Records, 1980.
« Xeno & Oaklander nous ont parlé de hardcore, de littérature et de l’enfer qu’est devenu New-York », interview par Rod Glacial, Vice.com, https://www.vice.com/fr/article/6ve95m/xeno-and-oaklander-interview-brooklyn
Tony Leduc-Gugnalons, Afterpunk highlights. L’ère de la glaciation sonore. Camion Blanc, 2018, p. 708.
Jennifer C. Lena, Richard A. Peterson, « Classification as Culture: Types and Trajectories of Music Genres », American Sociological Review, 5/73, 2008, p. 703.
Alexander Reed, Assimilate. Une histoire critique de la musique industrielle, 2018, Camion Blanc, p. 313.
Nick Richardson, « Private decadence », The Wire, 319, 2010, p. 40.
Morceaux :
Arvid Tuba – Rehabilitation
Arvid Tuba – The Seasons Are Seating On Chairs
Oppenheimer Analysis – The Devil’s Dancers
Ghosts Of Dance – Sunset Across Kyoto
Karen Marks – Cold Café (cassette demo)
Xeno And Oaklander – Nuit
Solid Space – Tenth Planet